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Nos cibles-Sarbacana

Cercles concentriques de la cible... comme des ronds figés dans l'eau du temps...

Viser en plein coeur du présent

Comme un effet qui attend sa cause, ces ronds dans l'eau attendent... !l'exact-impact! qui va les engendrer.

Intuition fulgurante du souffle — la flèche traverse l'instant en plein centre, elle frappe au centre du temps, en plein coeur du présent.

!Présent! perpétuel lieu d'impact de la vie.

Flèche en cristal de souffle,

Dard affûté d'air, poli par la respiration.

Sarbacana, acupuncture de l'esprit, qui pique son aiguille de souffle dans l'axe du monde, en l'exact point du présent, exact point de présence, juste à l'articulation de conscience entre le vouloir faire et le lâcher prise.

C'est alors que viser sur un point précis, devient comme viser en plein milieu du ciel, en plein centre de l'infini.

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"Fini"-"Infini", un même centre, une même respiration"

M.L. DIOPTAZ

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Viser avec les oreilles

 

Nos cibles sont conçues afin que nous puissions "viser avec les oreilles"... Il nous fallait pour cela disposer d'une gamme de tons en fonction du lieu d'impact dans la cible.

Pour ce faire, les cercles concentriques de nos cibles sont constitués de couches superposées, de sorte que, suivant l'épaisseur, chaque couleur ait son propre son de pénétration.

Plus l'on se rapproche du centre, plus les couches se multiplient, et plus les sons deviennent secs et sonores. Le support étant choisi pour faire caisse de résonance.

Cela nous permet de viser dans la pénombre. Evoluer dans la pénombre est riche d'enseignement pour la compréhension de son schéma corporel et de son shéma existentiel. La perception du "là-bas" est tout autre.

Lorsque nos yeux grands ouverts fouillent dans l'ombre, c'est un peu comme si l'on regardait vers le dedans.

Cela permet entre autres de constater que nous ne faisons pas que voir une distance, ou un lieu, nous l'éprouvons.

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Lorsque nous soufflons dans la nuit,

l'oreille nous montre le cercle d'impact dans la cible.

Percussion du souffle, sur la cible tambour.

Au centre, le claquement du centre.

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LA "BARBACANE"

 

Comme il est impératif pour notre discipline de tonifier le souffle (le Ki) dans sa dynamique sportive afin de développer cette dimension du souffle si capitale pour notre capacité à prendre des décisions, dans le cadre de la pratique des arts martiaux, de l'athlétisme et, bien sur, dans la vie de tous les jours.

Pour mettre en évidence ce phénomène, pour développer et jouer avec la puissance de nos "VEMS" et nos "D.E.P" Nous disposons pour cela sur nos parcoures de cibles nommées "Barbacane" ©

(Le "V.E.M.S", en médecine kinésie respiratoire, = le Volume Expiratoire Maximum par Seconde.


Le "DEP" = le Débit Expiratoire de Pointe. Le débit maximum étant obtenu en 1/10èmede secondes)

Ce sont des cibles à deux profondeurs, constituées d'une première surface positionnée à dix mètres, dont le centre (un cercle de 13 cm) a été découpé pour être placé deux mètres plus loin, dans l'axe (de visée) de la perforation de la première cible.

Ainsi la flèche va devoir traverser le vide de la première cible pour atteindre le plein de la seconde.

La visée devant être bonne à 10 mètres, mais aussi à 12 mètres. La trajectoire devant passer par deux points placés sur la même horizontale, ceci va mettre en évidence la droiture du jet de flèche, résultant de la puissance du souffle.

Avec une cible ordinaire, si le souffle n'est pas assez tonique, le "lanceur de souffle" peut compenser en relevant sa sarbacane : la flèche décrira une courbe dans l'espace, ce qui ne l'empêchera nullement d'atteindre le centre de la cible.

Mais, avec une cible "barbacane", ce même souffle court peut toujours atteindre le vide de la première cible, en plein centre... mais la parabole décrite par la flèche la fera passer au-dessous du plein de la seconde cible.

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